Thérapie

Année de sortie : 1985rnDirecteur : Al ParkerrnStudio : Surge StudiornCast : Pierce Daniels, Alex Lago, Drake Cass (alias Blake Cass), Rick Taylor, Daniel Holt, David Ashfield, Eric Ross, Rex Morgan (alias Buck Hayes), Rich Parsons (alias Paul Howell, alias Arturo Bardewyck), Shawn Roberts, Tico PattersonrnrnAvec une intrigue similaire à d'autres vidéos d'Al Parker, cette vidéo a un personnage central servant de tremplin aux artistes pour se lancer dans des contes sur les exploits sexuels.rnrnLe psychiatre Daniel Holt traite les patients ayant des problèmes sexuels et s'en tire en écoutant leurs fantasmes et leurs escapades. Il y a un peu d'humour dans le film, mais peu de surprises ou de très bonnes relations sexuelles, ce qui fait de la vidéo une déception dans l'ensemble, surtout par rapport aux autres productions de Parker.rnrnMalgré la menace d'arrestation, Shawn Roberts ne peut s'empêcher de faire l'amour dans les toilettes publiques quand il voit la belle bite de Drake Cass, joliment non coupée et longue, traverser un trou de gloire. Shawn lèche la tête de coq brillante à travers le prépuce alors qu'il joue avec son propre pénis et frotte les mamelons dépassant de sa poitrine velue. Shawn finit par prendre le sperme du mec sur son visage.rnrnUn autre patient dit au médecin qu'il aime les situations dangereuses. Il entre dans une ruelle où deux hommes traînent et aspire l'un d'eux à travers ses gars. Le deuxième homme sort sa viande prépucée et arrosée et la fait battre tout en regardant la fellation. Le sexe anal mène à des balles à trois voies et pressées menant à des orgasmes.rnrnSuper-hunk Rex aime se montrer et s'admire devant un miroir, sortant son gros schlong et battant une copie de M. Muscles. Le dernier segment, probablement le meilleur en raison de la performance ambitieuse de David Ashfield, fait rêver David qu'il a gagné à la loterie. En ramassant son butin, David laboure les fesses du directeur de la banque dans le coffre-fort sur des barres d'or. David bavarde sans arrêt tout au long du segment et ajoute à l'humour du film.rnrnUn critique de Bijou a écrit :rnrnLegendary Al Parker prend un autre virage directeur, servant Daniel Holt, un cupcake barbu, en tant que psychiatre avec une clientèle enviable. Le premier client, Shawn Roberts, est un blond fauve costaud avec l'impulsion incontrôlable de baiser dans les toilettes publiques. Il divulgue les détails de deux rencontres récentes, qui se terminent toutes deux par une peine de prison et une lourde amende.rnrnLa deuxième devait sûrement en valoir la peine parce qu'il sort du cul charnu du deuxième gars et jette une charge blanche nacrée à l'arrière du débardeur noir du fond. La confession du deuxième patient est encore plus racée, car il décrit s'exposer et se soumettre complètement à deux étrangers dans une ruelle sombre. Les amateurs de précondoms auront un frisson très sale lorsque le patient admettra au psy d'une voix humiliée : « Tout ce qu'ils utilisent, c'est cracher ! !« Le deuxième haut de l'allée est totalement flasque et sape une scène autrement chaude.rnrnMais la deuxième moitié de ce film porno gay s'améliore beaucoup. Le patient suivant est le mannequin physique Heartthrob Rex Morgan, dont le trouble implique un jacking public. Son thérapeute sournois s'arrange pour que sa secrétaire feigne une urgence afin que Rex soit seul dans le bureau sous la surveillance de Daniel à travers un miroir à double sens. Enfin, le David Ashfield perpétuellement sous-estimé avoue un rêve récurrent dans lequel il gagne à la loterie, mais donne tout pour des faveurs sexuelles. Cette scène remporte le prix du décor le plus improbable, un coffre-fort de banque très réel rempli de lingots d'or.rnrnDavid est le meilleur top ici, mais Daniel est le cœur et l'humour de ce film extrêmement mémorable.