Quatre couleurs 2 - Raeah

Ce nouveau vol de fantaisie du réalisateur non-conformiste Paul Black suscite des émotions contradictoires avec son mélange unique d'érotisme, de troublant et d'impénétrable. Raeah ressemble à un beau personnage d'un conte de fées, son visage impassible alors que les plumes tourbillonnent autour d'elle et que la peinture coule le long des murs. Elle est nue et parsemée de peinture, la tension sexuelle inquiétante s'élevant alors qu'elle peint rituellement sur ses seins. Elle brosse de la peinture autour de son abdomen et de ses cuisses et l'étale sur sa chatte, sa respiration lourde, ses mouvements lents et délibérés alors qu'elle joue les poils du pinceau sur son clitoris. Reposant sur le désordre des plumes, elle utilise le manche de la brosse enveloppé de préservatif comme un gode, sa chatte scintillant alors qu'elle s'ouvre pour prendre son jouet de fortune. Les sons collants de son excitation deviennent plus forts à mesure que ses poussées s'accélèrent, l'humidité se déversant d'elle alors qu'elle se baise à un orgasme qui la laisse trembler. La signification peut être obscure, mais l'imagerie est inoubliable.